TENOR
Geoffrey
Degives
Presse — Recensions — Juin 2017
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La Grande-duchesse de Gérolstein (Prince Paul) - Clermont-Ferrand
Opéra Magazine
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... "Leonardo Galeazzi compose un Général Boum d'une cocasserie pince-sans-rire, tandis que l'infortuné Prince Paul, en casquette à plume et veste à carreaux, arbore la drôlerie affolée de Geoffrey Degives." ...
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Presse — Recensions — 05 avril 2017
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La Grande-duchesse de Gérolstein (Prince Paul) - Clermont-Ferrand
Opérette Magazine
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... "Elle [ Anne Derouard ] sait, qualité assez rare, détailler le couplet." ... "Geoffrey Degives est un Paul virevoltant sorti tout droit de Jules Verne. Lui aussi détaille très élégamment le couplet." ...
Presse — Recensions — 05 avril 2017
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La Grande-duchesse de Gérolstein (Prince Paul) - Clermont-Ferrand
Forum Opéra
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"Folle farandole, pantomime au pas de charge, sarabande endiablée : le public a voté Grande-duchesse ! Et la voilà flanquée de deux nouveaux amants : Pierre Thirion-Vallet et Amaury du Closel. Le premier l’a mise en scène, le second en musique et les deux conjurés ont mis Offenbach en joie et le public en liesse. Et rarement l’ouvrage s’est imposé avec autant de fantaisie primesautière et de truculence boulevardière. Le tout sans occulter cette cinglante ironie, cette fringante bonne humeur qui étrillent la vacuité de l’autorité, la suffisance du pouvoir. Le résultat est là, en pantalon garance et capote bleu horizon, dans une savante harmonie de textures et couleurs signée Véronique Henriot. L’histoire en costumes et coutumes décapée des poncifs et vernis de la reconstitution : l’histoire intemporelle de notre humaine condition et de ses mondaines contorsions, l’histoire revêtue de ses oripeaux et à peine gauchie des travers d’une société à bout de souffle. Cela ne vous évoque rien ?
Mais la pudeur de la mise en scène nous épargne tout anachronisme ou trop facile récupération à prétention moderniste. La farce est féroce et c’est là toute sa force. Elle enfile narquoises loufoqueries et fugaces extravagances comme autant de perles rares ; à l’image de cette collection de caleçons et jambons descendus des cintres en lieu et place du glorieux sabre grand-paternel ; ou de la virile harangue d’une Grande-duchesse flanquée d’un souffleur hystérique. Déliquescence d’une société perfidement suggérée par les décors de guingois de Frank Aracil, entre grandiloquence d’un trône à baldaquin couronné de travers, un vacillant placard à généraux et collections de chaises manquant d’assise."
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"Personnalité par contre plus complexe qu’il n’y parait et combien fragile à cerner et à incarner que celle de Fritz. Matthieu Justine est l’homme de la situation à plus d’un titre: ... insensible à l’essaim vibrionnant de courtisans et affidés de cette cour des miracles de la viduité : Nicolas Rether en Baron Puck haut perché doublé d’un fieffé félon de salon ; Geoffrey Degives prince des têtes à claques" ... .
"Entrées, sorties, échanges et poursuites s’enchaînent réglés sur le métronome d’un pur plaisir avec un naturel ludique et bon enfant. On raille, brocarde et ridiculise avec une telle spontanéité que la charge n’en est que plus dévastatrice. Le public complice applaudit sans retenue à ce jeu de massacre."